Page:Fougeret de Monbron - La Capitale des Gaules.djvu/38

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utiles ne sauroient être trop répétées ; & quelque médiocres qu’en soient les fruits, le peu de bien qu’ils produisent est toujours un bien. Que l’on vante tant qu’on voudra nos manufactures, nos ouvrages de goût & d’agrément, & toutes les superfluités par lesquelles notre Nation se distingue entre les autres, je soûtiens que toutes ces choses sont plus nuisibles qu’avantageuses au Royaume. La raison de cela, c’est que nous en consommons beaucoup trop,