Page:Fougeret de Monbron - La Capitale des Gaules.djvu/9

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généralement tout ce qu’on peut souhaiter. Cela est vrai, quand les moyens de se procurer ce que l’on souhaite ne manquent pas. Mais ce Paradis terrestre devient un lieu de supplice, d’autant plus cruel pour les infortunés, que l’abondance, les plaisirs, la joye & les fêtes dont ils sont les témoins, & auxquels ils n’ont nulle part, leur retracent plus vivement l’image affreuse de leurs calamités & de leurs miseres.

Quiconque est indigent &