qu’en un point de la surface du sol, le mouvement transmis était représenté par une série de petites oscillations d’inégale amplitude et d’inégale durée (fig. 15).
À la fin du mémoire intéressant qu’il a publié sur la question, Milne a réuni, sous forme d’aphorisme, les données recueillies sur chacune des composantes du mouvement. Citons ici quelques-unes de ses conclusions :
« Dans une station voisine de l’origine, la seconde ou la troisième ondulation du mouvement longitudinal est ordinairement la plus ample, après quoi l’amplitude de l’oscillation décroît rapidement.
« Cette amplitude est approximativement en raison inverse de la distance à l’origine.
« Dans une station voisine de l’origine, la période d’ondulation est d’abord courte. Elle devient plus longue à mesure que l’ébranlement se propage et finit par devenir égale à celle du mouvement transversal.