Page:Fourest - La Négresse blonde, 1909.djvu/43

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prêtre qui m’aspergeas de l’eau du baptistère
et par qui je connus, (sublime et doux mystère !)
vers l’âge de douze ans la saveur du Sauveur !

hélas ! ne pouviez-vous, me prenant par l’échine,
quand je bavais, môme gluant, déjà rêveur,
m’offrir à des cochons, comme l’on fait en Chine