Page:Fréchette - Les Fleurs boréales.djvu/103

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Et le passant charmé s’arrête et se demande,
En voyant cela.
Si, quelque beau matin, la blonde fée Urgande
A passé par là.

On le croirait vraiment ; mais toute la féerie,
C’est qu’en vérité
Sous ces lambris joyeux le bonheur se marie
Avec la gaîté !