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À Alphonse Lusignan
D’un poëte aimé j’ai fermé le tome,
Et pensif je songe à toi, mon ami ;
Car le souvenir, gracieux fantôme,
Hante bien souvent mon cœur endormi.
À Alphonse Lusignan
D’un poëte aimé j’ai fermé le tome,
Et pensif je songe à toi, mon ami ;
Car le souvenir, gracieux fantôme,
Hante bien souvent mon cœur endormi.