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Page:Fréron - L Année littéraire 1775.djvu/128

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114 L^jÉNifÈE Littéraire,

>>pour vivifier bien des parties de n cette grande Cité , qui ne le font » pas afîez. On a certainement profité des vues de notre Politique , » commele remarque M. SecouJ^Cydans >} la formation de Tlfie du Palais » en » la réuniffant à deux autres : envi*^ >^ ronnée de Quais qu’il demandoit ; » cett^ Ifle nous préfente le beaii > ; terrein oîi nous voyons maintenant » la Place Dauph^ne , la Statue de : » rimmprtel ïf^nri , & le beau Pont » auquel Jfenri lll mit la prejmiere. » pierre en 1 578. Il demande ,ençoxe » qu’il y ait des Egoûts , que les Rues » ipient pavées & élargies , les Cul- >> de-$ac$ percés ; il ajoute i ou il y. » aura }ardi^s le long Mf dites rues ^ ^ftror^e Içs places JurlefMies Rues nou^ » velles t aillées, a rerit^ , ou autrement ^ dijlriiuécs yar jdiverfes habitations ,. à » la charge d^y^ faire maifons , ou autres, v^ lâtïmeris avec ouvriers de métier^ pour » les faîre^tenir par pa^uyres gens, adc$ ». que par ce ’moyen, , to^ut le Pays^ qui , ^f de.préfent ejl vuifle^ vague Gtinhab^’j ^ té ^^oit’rtfp^li ^fi-gfps^ dt bien yjA^ii^y^