Page:François-Félix Nogaret, L'Arétin François, 1787.djvu/143

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    Je me pâme.
Hélas ! quand je le mettrai,
 Sûrement je rendrai
    Mon âme.
    Je renais,
    Que d’attraits
    Je découvre !
Il n’eſt corps comme le tien,
 Il faut de tout le mien,
 Il faut que je le couvre.
    Arrêtons !
    Quels tétons !
    Ah ! mignonne !...
Quel poil noir ! Quel ventre uni !
 Quel cul !... Dieu ſoit béni,
    J’enconne.