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Page:François-Félix Nogaret, L'Arétin François, 1787.djvu/72

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FIGURE

QUATORZIÈME.




 Ne penſe pas, toi qui ſais m’enivrer,
Qu’un ſeul de tes attraits échappe à mes careſſes !
 Il eſt un temple à Vénus, belles fesses,
 Or, d’une offrande on peut donc l’honorer.
  D’un inſtant c’eſt la fantaiſie,
Je reprendrai bientôt l’ordinaire chemin ;
Excuſe le tranſport d’une tendre folie :
Laiſſe-moi, joli con, entrer chez ton voiſin !