lidarité ne fonctionnerait plus à la suite d’une rupture ou d’un accident, le bon sens peut s’attacher à raisonner, à persuader, les gens qui ont besoin de fraternité, et qui sont toujours susceptibles d’en comprendre les avantages.
Le bon sens pourra toujours vous mettre sur les chemins de la fraternité, qui sont d’abord bonne volonté, complaisance, cordialité, gentillesse.
N’est-ce pas dans cet esprit de gentillesse fraternelle qu’il est permis de considérer qu’à brebis tondue, Dieu mesure le vent ?
Quel meilleur exemple de fraternité pour le berger à l’égard de ses brebis ? Et de quel bon sens exemplaire aussi témoigne cette précaution divine ! Le bon sens pourrait-il mieux faire que de recommander au berger de ne mener paître ses brebis, après la tonte, que dans les endroits abrités ?
Car le bon sens n’a pas qualité pour mesurer le vent ; le bon sens n’est pas le Bon Dieu.
Mais comme on voit que le Bon Dieu a, divinement, du bon sens !…