Page:Franc-Nohain - Les Chansons des trains et des gares, 1900.djvu/137

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En vain ces gens-là me prient-ils,
Et veulent me forcer à boire :
Leur insistance est inutile,
Non, je ne veux plus rien savoir…
— Cette sobriété t’honore, camarade !
Lui dis-je avec assentiment ;
— Et puis, ajouta-t-il vraiment,
De l’encre du gouvernement…
Je ne veux pas me rendre malade !