Page:Franc-Nohain - Les Chansons des trains et des gares, 1900.djvu/177

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LA MAIN LÉGÈRE


        Enfant du pays toulousain,
— Compatriote, donc, de notre Armand Silvestre,
        Comme nous le savons de reste :
                        Violettes,
            Allées Lafayette,
        Le Capitole, Saint-Sernin, —
        Enfant de Toulouse aux toits roses,
Un apprenti coiffeur un beau matin s’en vint,
        Avec son noble gagne-pain,
        (C’est de son rasoir que je cause),
        À Paris tenter le destin :

        Il faut bien faire quelque chose.