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Page:Franc-Nohain - Les Chansons des trains et des gares, 1900.djvu/180

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Vous périrez sous le poids de vos pellicules ! —

        Mais surtout il eût souhaité,
        Pour le plaisir et pour la gloire,
D’acquérir dans Paris une notoriété
        Pour l’extrême légèreté
Avec laquelle il eût su guider le rasoir :

    — Connaissez-vous ce garçon de Toulouse ?
Nul autre n’a, que lui, la main légère et douce… —

Et l’on en parlerait au foyer des artistes ;
                    Et Baptiste,
À l’office, ferait un éloge idolâtre :
Il aurait à gogo, des billets de théâtre,
Et, dans les bars franco-russes, il irait rouler
        Avecque des cochers anglais.

        Voilà, direz-vous, des aubaines
Qui valent bien que l’on se donne un peu de peine

        Mais notre garçon toulousain
        Entre tous était un malin ;
                    Sa main