Page:Franc-Nohain - Les Chansons des trains et des gares, 1900.djvu/19

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Qui nous mènent à travers champs, —
Nous qui voulons calmer les peines
En cherchant,
Pour la mettre à portée des gens,
Des pauvres inquiètes gens,
Qui s’agitent, qui se démènent,
Ou se promènent,

La poésie des choses quotidiennes.