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Page:Franc-Nohain - Les Chansons des trains et des gares, 1900.djvu/22

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Sans relâche…
Et c’est avec des soupirs de regret,
Que passe la locomotive au long des prés,
Où sont immobiles les vaches,

Et songe en regardant les veaux
Batifoler près de leur mère,
Songe à l’impossible chimère,
Et se détourne le cœur gros, —

Jouir en paix de la nature,
Avec une progéniture
De petits locomotiveaux…