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Page:Franc-Nohain - Les Chansons des trains et des gares, 1900.djvu/237

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Mais n’oublions
Pas l’Odéon,
Car il faut que nous montrions
Que nous sommes bien parisiens, —

Il faut être bien parisiens, —

Et peut-être y en a-t-il qui regrettent l’AUTRE…
(Pourquoi n’a-t-il pas mis sa belle redingote !)

Mais de cet autre les brillantes photographies,
Peu à peu, disparaîtront ;
Elles s’en iront, c’est la vie,
Dans la poussière des cartons,
Suivant la fortune commune,

Vers l’éternel oubli, où vont
Les rois de toutes nations,
Les Grévy, et les Mac-Mahon

Comme les lunes.