Page:Franc-Nohain - Les Chansons des trains et des gares, 1900.djvu/30

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C’est là que les grands tournesols,
Rongés d’une ambition folle,
Regardent, jaunes de dépit,
La gare, dont les feux, là-bas, brillent dans la nuit,
Et les attristent, —
Eux qu’éternellement poursuit,
(Bisque !… bisque !…)
Cette idée fixe :

Être un disque ! —