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Page:Franc-Nohain - Les Chansons des trains et des gares, 1900.djvu/94

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Les bourdons qui bourdonnèrent,
C’était les mots aigre-doux,
Les propos que les jaloux
Tiennent de loin, par derrière,

S’être fait, par infortune,
Arracher toutes les dents ;
Contre ces vilaines gens
N’en pouvoir plus garder une…

Et c’est l’histoire de l’âne bleu,
Qui était si malheureux.