Page:Franc-Nohain - Les Mémoires de Footit et Chocolat, 1907.djvu/13

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Cet enfant de quatre ans n’était pas très lourd, et le nez de M. Footit en avait vu bien d’autres ; tout de même, il fourrait aussitôt Footit junior dans le mouchoir, il replaçait le mouchoir sous son bras, et, en s’en allant, le bras serrait, un peu plus qu’il n’eût convenu, le mouchoir : c’était la façon de Master Footit d’apprendre à son fils le respect paternel, et il va