Page:Franc-Nohain - Les Mémoires de Footit et Chocolat, 1907.djvu/17

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Ne dites pas cela à Footit. De tout l’enseignement d’Arnold College c’est la seule chose qui lui ait vraiment servi à quelque chose : c’est grâce à Mme Fips et à ses leçons qu’il a su, par la suite, et toujours, confectionner ses maillots de clown ; maintenant encore, il se plaît à en assembler lui-même, à sa fantaisie, les pièces aux couleurs chatoyantes et bariolées…

Et en les assemblant, il songe à Mme Fips, — il n’a pas oublié Mme Fips.

Mais il ne peut pas oublier non plus le pudding de Mme Fips.