noms. Si je les retrouve un jour, je ne manquerai pas de les consigner ici.
En voilà assez, je crois, sur le porte-chaise d’affaires. Ce chapitre paraîtra peut-être même long pour une pareille matière ; en tous cas, au milieu des sérieuses réflexions que doivent inspirer les événements que j’ai à décrire, ce n’était pas le plus aisé à traiter. Mais la chose fait partie des usages du temps. Ce sera, pour les amateurs de l’égalité, un texte à moraliser ; et il paraîtra d’autant plus curieux que je doute fort de voir cette charge rétablie à la nouvelle cour, qu’elle n’existe peut-être plus en Europe, et que, pour la retrouver, il faudrait l’aller chercher au royaume de Cocagne, où le porte-coton est un des grands officiers de l’empire.