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L’homme

Macao, pour eſtre de là renduë en Eſpagne, comme Auant-courriere de mon retour.

Cependant, le Mandarin continüant de m’eſtre fauorable, eſtoit cauſe que i’allois voir tous les iours ces bons Peres, auec qui ie m’entretenois de pluſieurs rares ſecrets ; Et ce fut là que ie poſay le fondement de mon retour, dont i’attends l’occaſion auec patience, afin que ſemant vn iour par tout mon Pays le bruit veritable de tāt de merueilles, cy-deuāt cachées & que i’ay nouuellement découuertes, ie puiſſe enfin moiſſonner la gloire, que ie me promets de mes heureuſes diſgraces.

FIN.