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Page:Frehel - Le Précurseur.pdf/127

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chèvres, là où fleurissait l’œillet sauvage, ce n’étaient que places dévastées par les chantiers, murs élevés pour défendre le lot de chacun ; et, après les aristocrates, venait la troupe des parvenus âpres à la curée du bon ton, fiers d’élever leurs ignominieuses bicoques près des demeures princières érigées pour d’orgueilleux lords.

Il était excellent, pensait Jacquemine, de soustraire à ce spectacle les catéchumènes de la sagesse et de les emmener loin des excitations du plaisir, dans la contrée recueillie.