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Page:Fresnel - Œuvres complètes d'Augustin Fresnel tome 1.djvu/120

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PREMIER MÉMOIRE SLR LA DIFFRACTION. 15 moyen. Je recevais l’ombre sur un carton blanc, et je mesurais la dis- K" IL tance entre les deux franges extérieures du premier ordre, en prenant, dans chaque frange, le point où cesse le rouge et où le violet commence. Je connaissais assez exactement le diamètre du fil de fer don ! je me servais, qui était d’un millimètre ; je pouvais ainsi calculer la largeur de l’ombre telle qu’elle aurait été sans la diffraction , et par une soustraction je voyais de combien la première frange s’en éloignait. 1 2. Je m’étais assuré d’avance, en dirigeant sur le globule des rayons rouges, et ensuite des rayons violets, que les franges produites par ceux-ci s’écartaient moins de l’ombre que celles que donnaient les rayons rouges, et que les couleurs suivaient le même ordre que dans les anneaux colo rés ; c’est pourquoi j’ai toujours pris le passage du rouge au violet pour la ligne de séparation des couleurs du premier et du second ordre. 1 3. Le tableau suivant présente les résultats des observations que j’ai faites , en recevant les ombres sur un carton : wuara Liacira Mrriauca. ntrriMiec m nui ne» •UTtlCI de i ombre de l’ombr» ou J..ui.K. diiiaée m m î O ■ du point tarai neui du fil telle de U dialanee , par U dulanre M Id qu’elle aérait m la 1 •le 19 frange du 61 au rii r ton , 5 «• au fil * far. dem frangw li au boni de l’ombre ou angle dit *** «ilérieurr». diffraction. géométrique. i o".oi7 i",o33 o",078o o",ofn8 0".0l69 0,0 1 568 Dan» In nb*rr>atwn« i , 0,00880 a , S . 4 , 5 al 6 le point lurnineui était le foyer d’nn 4 o ,o5o t ,439 0 ,0699 0 ,0996 0 ,0196 ■i 0 ,100 1 ,365 0 ,0939 0 ,01^7 0 ,oo85 0,00693 globule qui se jetait qu’une lumière bible, en aorte o ,iôo 1 ,3o’i 0 ,0169 0 ,0097 0 ,0079 o,oo55a que je ne pouvait pai beaucoup éloigner le carton. 5 0 ,901 t ,900 0 ,0199 0 ,0079 0 ,0057 o,oo&.ï6 Dam lei autre* olnerva- 6 o ,937 1 ,91 5 0,011 5 0 ,0001 0 .ooâ’i 0,00a’i4 lioit-t . le point lumiueux était donne par une lentille 7 0 ,3g3 5 ,967 0 ,o3ao 0 ,oi44 0 ,0176 o,oo33’i de jii ligtm de fojer. J’aurai* pu obtenir de» 8 0 .987 4 ,6 7 3 0 ,0160., 0 ,0057 0 ,01 o3 0,00990 meture* plu» «laetet rn in- 9 1 ,187 t ,i 7 3 0 ,0 1 1 5 0 ,oo38 0 ,0077 0,001 8 ’1 clinant le carton au rajon de lumière ; mai» l’idée ne IO « »9 8 7 3 ,6 7 3 0 ,0094 0 .0098 0 .oofifi 0,00180 m’en était pa« encore Keoiie. 1 1 9 ,487 3 ,t 7 3 0 ,0076 0 ,0093 0 ,oo53 0,001 67 Le* abaernuoc» U d i5 1 9 3 ,987 9 ,6 7 3 0 ,0061 0 ,0019 0 ,00&9 o,oot 57 ont été faite» ! l’aide d’un il 3 ,987 1 ,6 7 3 0 ,ooi4 0 ,00 1 h 0 ,oo3o 0,00179 miroir, qui réfléchi aaail le point lumineu» pour prolonger n diaUoce au 61 , ma chambre ohanire n’ayant que 5", 67 de longueur. th 6 ,700 3 ,980 0 ,0069 0 ,0010 0 ,0067 0,001 63 10 8 ,46o 1 ,5io 0 ,oo38 0 ,0019 0 ,0096 0,00179 r