383 THÉORIE DE LA LUMIÈRE. — PREMIÈRE SECTION. N" XIV. lumière et la marche des faisceaux alternativement obscurs et brillants dans lesquels elle se divise alors ; et les résultat* du calcul s’accordent avec ceux de l’expérience. Cest en cela surtout que la théorie de la réfraction déduite du système des ondes est bien supérieure à celle de Newton , qui n’explique la marche de la lumière que dans le cas particulier d’une surface continue et indéfinie. 1 1 . La théorie que nous venons d’exposer ne détermine la position des divers |H>ints de l’onde réfractée qu’à une distance de la surface réfringente très-grande relativement à la longueur d’ondulation ; mais, si l’on se rappelle qu’un seul millimètre contient déjà près de deux mille fois la longueur moyenne des ondulations lumineuses, on sentira (pie les résultats numériques obtenus dans ce cas peuvent Rappliquer à toutes les expériences qui ont été faites pour mesurer la réfraction et vérifier la loi de Descartes W,
w A ta mite de l’article inséré au loin ? XXI - Nota. Nous n’avons M exposer ici que très-- succinctement le principe «le* interférence* el les -autres principe» de la théorie des ondes : on trouvera de plus amples développement* à c« sujet - dans le supplément à la traduction française de la Suit une liste de corrections qu’on a utilisée Annales on trouve les lignes suivantes :
"cinquième édition de la Chimie de Thomson . par -Hiffaull. Nous profitons de cette occasion pour «indiquer quelques erreurs qui nous ont échappé -dans la rédaction un peu précipitée de l’article -sur la lumitr*.*
ir la présente édition.
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