Page:Froger - À genoux, 1878.djvu/153

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Ainsi meurent, et dans leur corps et dans leur âme,
Pour punir toutes les trahisons de la femme,
Meurent dans un immense effondrement humain,
Terribles et faisant craquer avec leur main
Les colonnes sur qui repose le ciel même,
Tous les êtres qu’aura trompés l’Amour suprême.