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Page:Froger - À genoux, 1878.djvu/157

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XXXIII

MEA CULPA


 
C’est ma faute, ma faute, et ma très-grande faute !

Un jour je te dirai pourquoi je t’aimai tant.
L’espèce de Sirène horrible qui me tend
Ses piéges, c’est ton Âme ; et ton Corps en est l’hôte.

C’est ma faute, ma faute, et ma très-grande faute !