Page:Froger - À genoux, 1878.djvu/72

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Quand, las de la brûlure horrible de la vie,
Je regarde tes yeux, ô grande inassouvie,
Je sens monter en moi la consolation
Souveraine du mal et de la passion.
Et de même, si tu t’en vas, je recommence
À souffrir dans le fond du cœur ma plaie immense
Et je sens mes cheveux lentement se dresser ;
Jusqu’au moment où tu t’en reviens me bercer.