Page:Froger - À genoux, 1878.djvu/80

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« Et ses belles mains d’ivoire
Où j’ai mis tout mon orgueil
M’apprivoisaient dans la gloire
Et me berçaient dans le deuil. »

Et pour que dans l’enfer morne
Tous ces grands aventureux
Qu’a vaincus le mal sans borne
En soient à jamais heureux,

En entendant ces louanges
Que je leur dirai pour vous,
Reine éternelle des Anges
Que j’adorais à genoux.