Page:Furetière - Le Roman bourgeois.djvu/326

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

la nourriture luy en doivent tenir lieu. Le droit des esclaves est ici traitté, qui veut qu’ils ne puissent rien acquérir que pour leur maistre. Où il est monstré que les esclaves de la fortune sont encore moins favorables que les esclaves pris en guerre.

Chapitre 20.

D’un moyen facile et general qu’ont trouvé les Mecenas de soudre toutes les difficultez cy-dessus, en ne donnant rien. Description, à ce propos, de l’avarice, et du déménagement qu’elle a fait en nos jours ; où on voit qu’elle habite dans les hôtels et dans les palais, au lieu qu’elle estoit cy-devant logée dans les colleges et dans les gargoteries.

Tome quatriesme.

Chapitre 1.

Des eloges en general, avec leur distinction, nature et qualitez.

Chapitre 2.

Que les éloges immoderez sont de l’essence des epîtres dedicatoires. Avec la preuve experimentale que l’encens qui enteste le plus est celuy qui est trouvé le meilleur, contre l’opinion des médecins et droguistes.

Chapitre 3.

Si le Mecenas doit payer la dedicace du livre à proportion de l’encens qu’on luy donne dans l’epistre. Avec l’invention de faire le trebuchet pour le pezer.

Chapitre 4.

Si l’encens qu’on donne au Mecenas dans le reste du