Page:Furetiere - Dictionnaire, 1690, T01, A-C.djvu/179

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B~è :1.

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BA J•.

Der’=' ltU !te* , qm.• tieatthtz Juy cb btint pril* fe ,.,. bJic, & qui-éÂ’d'~tàfi ~y ......& : Eftuvifte. Les geu de cp1ité vootloger chez lCif ...... fldrJ/

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B.&IGNOIRE. f .f.. l.e. .. .œ :lr1fi&H- toà fè~,

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BAIGU, vi. adj. T :.~de~.i :·"elit dts c :bév• qui- ..figé dé CÏJI4l ms· • lieu ;.

1’ieiJ1dlé lilllrqùC !nl t.o4pri ~ft’ llrtj.. .~ àrœtes’let...dtdeYant ;· cati-If ~ 1111 petit tram~ de· ~ ·Jdre· !l’œ app.dle tn~ ,., M fm, qui aux3Qtradlevawcs’d1Xo..- . 1alil ans.

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BA 1 L•. {.m. Terme de PàlaiJ•. Cqnvcntionttu’on fait pour donner àferme , à loyer, à rente un heritage. an Clroit• .le hm d’W1e terrt :; d’une lmiforr ;d~St !P.• rie’ d’une dixme , d’un chtmpart. Je •.liil dèt ~, dts’G*Ila.

BA 1 L CON :VE NT 1 ON EL t el celuyqnHdait’fOJOn.. tairement entre deux parties ; Bilil jftdidMrt ,. cefDy epi fe fait par des encheres en Jufiice.des biens failis. BAil _, ’ !Jtlltiqllt, qui fe fait iJonaues années depui11o, ans jufqu’à 99· ans. On fait aud1 des .AII .d vie, a~ tte ages, quatre vies , & : qtatre generations. Ntcod croit que ce mot peut Tdlit êfe l'Hd>reu bAil , fJ.IIÎ Jigni.fie trAdtrt.

B u L d’heritages , elt mutaittl. OU’ mm-, p# 1equd on abandonne le fonds d’Un ~, moyennant ane rente annuelle que te ptttlC !ut /oblige de ratet • t :tquellc n’efi point mhetable, & dont on ne fe peut defcharp qu’en abandonnant lefOtidt.

~A 1 L, eft auffi l’expeditiOn cfe ce traitt~ qtt’àn le-ve cbez un Notaire. Tout. preneut d’~tages ~ loyet dl obligé de fOurnir le ...U en fortne 311 Jiio~te. ·

B A 1 L , en tettnes de CàuflumëS, R !tdifie, Garde Sc U.. : BA1GNER. verb. a&.& •• P~lehm, tdle des biens d’IJII. mmtut ju{qu’.l T•ate de ! u. "*· En mettre ~l< !bairi. llfef.un : P’ltget ~ &~éa,. celle~ Patis, on l’àppelle G.,,,_,..’k, ott 661ttlHift, toru1u’on fe veut 6.ùglflfl. Oil ne ~t ~ htment Elle cliJfère pourwit dii ftmple tAJt, en ce ’lue tazAtl., . ~laragequ’enfe6Ai~·dtuu&mer. èèMcdœift a tldk, OùtosrgçMfo, n• :tpp :attiènt qu’aut ~m&ms ; &~iglll huit jours ce mabdt imllt <i" !cletè JiiC !tlft dms & le t.ùl fe donrlé àUit phit ~~ p~,idibctNIIXj le gnnd rcmcde. On dit d, Utift ~ ·êflien, Un & les diCpoftrions en font ·iUerentes fe.bilta Couftu.. cheval , pOltr dire , la.tenir qudqU !e tetnpa :cbiU fe2u. mes. On dit auJii , "Vaddet horaid.ùt , pout ellie 1 Ce mot vient du Latin 1~pdi • qui à fté fait dt •"ll"· ·Sortir de gnde & de ~e.

Menage. D’auuedederivent ! À"t.iL !ft,, ~dt ! ~*urt. On adit aWD 311ttefojt, Tenir le Roya~e tri t. ;il, ttoar On dit hy~liquemtnt ; cpiW’I bomtne affaf&é ....... dire, en avuir la rtgente & le gouverftelnellt. On • cbns fon fang, qu’un. :dlùg~ a le mage •. ;;p~ de JaraPPellé : wfli auttdOis BAil un mari, parce~ !: :~ab tu· . mes, _r.out dire, qtt’il a perdu be :iucoup de fang ’• ~ têlle & adminifttarlon .dèS -perforuu : & dé6

1 verf’e beautour de larmes.

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Îi :ntme.

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B 11. 1 G N E a 1 . fe dit aufli, lors que des~ ftll118gertt B AIlLE ; (. m . Ctft le mm qu’olt donne 41.11 Ambcdf’aàq ~que COS(& qu’on a mis dedans. Pout fiiiè une.lion- , clam.de Venife reftdans ~ ëofiftantinople. ~lei. 3(’ne mfufaon, il. (IL’It que ·le fcné , les· hetbes b.t~gw.r pdloit ainfi dés le f ;ettlp$ que les Em~ a)mmat~dans la tifane • .~de$ con6tures 6Ai,tnM à :lnsle ftropt i !oient en cette vtl1~-ll. JJS s’apptHoiem en tarin IJAj• des frillU’es d :ustle beurre. làl, comme qui dlroit B,dU) ; & il &ifoit ~t BA1(’,NEa , fedit~ment enMOnle. Cet homme la dlarge de Conful de Vttùfe & de Rd’~t l Confe b.cignr dans la joye • dans la~, ~ il du RantinOpte. ·

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cxceffivemen.t. • les c :nads & les èo~ fet...,_ ., BA 1 L LE, en tt’l'mtS de Marine, eft Wied~ 4e b.1· dans le fang de leurs ennemis , quand ils ai .OJtm pluqatt f.ût d’un demi-~~u , qui fett à divers ~ :.p fil fteurs maffacrés.

les v.ùfJè3Ux. & . parttculierement à mettre le~ BA 1GNE R , fe dit aulli.des rivieres qui arrofentvne cam- · qa "o n do ~o t s. On l’ :tpl’tlle àudl Bem• . pagne, qui palfent auprés clmeville, 9,’Ji foami4èrit BA ILLE MENT ! f.m. Ouverture in~ de dci caux àun plys. L ’E.gypte eft f.ti., .tt pu les t :IDX hbouche t qui témoigne qu’Ob a envie de drJmdt, ·011 ’du Nil. lcRhofileb..iptles.mursdeLJOft< ·

qlions’eimuye. H~ditque te~dlt~U-BA 1 G N E R , en termes de ’Fauconnf’rie, tt dit de J’oifdu, ntllll continuels , c’eft de rtlpttCr à longues ~ lors que de tuy-même il fe b.cipt pn delices , ou qù’il & tle mlme du hoqufr. .

fe mouille àla pluye , ou qu’on leplongedms lebà1fin BA1L L E R. v. n. Ce mot a b premiere fylla&elonquand on le poivre.

gue, & on écrivait auueG>is BAAIUn. Faite des b1ille--B, , ’ GNi. • i.F. pur.paJf.8cadj. mentJ, qiù font c :aufez pat une V :lifOU’ qui f.ùt CIUfrir b BA 1 G NE. UR. f . m . Celuy qui fe œigne. On voit boacbe~. !r fOrtir, & 91 ! ~ dans le G1ngc : des v~.ou trente. ~e •n,ptr~r~ en de l*ennuy , ou eLa

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.Dd’prcaat la 6 INt

même temps par un pnnapt fuperftitieux : de devotion.. p ;Kcllè •

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BA1GN liv a , dlauOiceluyqui f.ùt profeffion debai&- ~t je ne fçay pourquoy. je WU, eola lilmt. ;, .

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