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Nicolas Cunin, fabricien de la paroisse, donne pour le budget de la fabrique :

Recettes : Location de biens-fonds 162l 16s
Rentes constituées 711l 19s
Dépenses 853l 5s 6den

Comme au xviie siècle, ce budget se solde en déficit.

Gérard Le Roy, receveur de la Confrérie des Morts, établit le compte suivant :

Recettes en location de biens-fonds et rentes constituées 158l 17s 4den
Dépenses 43l 18s 9den

Enfin Joseph Garnier, receveur de la Confrérie de Saint-Crépin, présente le budget qui suit :

Recettes. Rentes constituées 166l 10s 3den
Dépenses 99l 10s 6den

Cloches

Des cloches furent placées dans la tour de l’église nouvelle ; car on trouve plusieurs titres se rapportant au paiement ou à la réparation des cloches.

Par un traité[1] passé le 6 Septembre 1720, le nommé Pierre Rozier, fondeur à Bréval, se soumet à fondre une nouvelle cloche, du même poids que celle qui est fendue au clocher, moyennant la somme de 300 livres payables aussitôt que la cloche sera posée.

En 1761, en vertu de deux traités passés avec la communauté les 8 Février et 7 Août, deux fondeurs s’engagent à refondre la grosse cloche de l’église et à la mettre d’accord avec les deux autres.

Le 25 Août 1763, le sieur N. Antoine signe un traité par lequel il s’engage envers la communauté à refondre

  1. Archives communales. D.D.XIII. Il s’agit ici des cloches de l’ancienne église.