Page:Góngora - Vingt-quatre Sonnets.djvu/26

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Conseil




Tant que le soleil resplendissant s’efforcera en vain de rivaliser avec l’or poli de ta chevelure, tant que le beau lys des champs jalousera ton front blanc,

Tant que le désir de tes lèvres t’attirera plus de regards qu’il n’en est pour l’œillet précoce, et tant que ton col gracieux triomphera dédaigneusement du brillant ivoire,