Page:Góngora - Vingt-quatre Sonnets.djvu/34

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L’Imagination




Changeante imagination, toi qui, par mille efforts, en dépit de ton triste maître, dépenses la douce provision du sommeil pour en nourrir de vaines pensées,

Si tu rends mes esprits attentifs uniquement à me représenter le grave froncement de cette figure tendre et farouche, glorieuse trêve à mes tourments,