Page:Góngora - Vingt-quatre Sonnets.djvu/41

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Venez, mules, avec les pieds de qui m’a donné une telle ruade celui qui, peut-être, aura la honte de voir que vous mangez le reste de moi-même.

Adieu, cour fourrée dans un hameau ! adieu, Toril qui fut notre pré ! moi, dans mon petit coin, un bon boudin m’attend.