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Page:Gaboriau - Monsieur Lecoq, Dentu, 1869, tome 1.djvu/173

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trait Lecoq, — m’a apporté du pain et du jambon, au violon, là-bas.

— Sentez-vous le besoin de prendre quelque chose ?

— Non !… Quoique cependant… si c’était un effet de votre bonté… je boirais bien un verre d’eau.

— Voulez-vous du vin avec ?…

— J’aime mieux de l’eau pure.

On lui apporta ce qu’il demandait.

Aussitôt il se versa un premier verre qu’il avala d’un trait, puis un second qu’il vida lentement.

On eût dit qu’il buvait la vie. Il semblait renaître.