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che ; car il doit pourvoir, non-seulement au luxe de Berthe, mais à celui du comte de Givry.
— Comment ! ce brillant comte Raoul serait tombé si bas ?
— Oui, mon cher, il n’a plus d’autres ressources que le jeu et la belle Duclos qui, paraît-il, l’aime toujours éperdument.
— Et qu’est devenue madame de Givry ?
— Le piquant de cette douloureuse histoire, c’est que les deux époux trompés se consolent, dit-on, et se vengent ensemble par une lune de miel qui dure depuis quatre ans. Deux êtres bons et