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Page:Galmot - Quelle étrange histoire, 1918.djvu/126

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Mais une voix d’enfant chante. Et c’est la nuit, immobile, odorante, lourde, la Nuit des tropiques qui s’abat sur la Terre…

Une sonnerie de clairon annonce que l’on ferme les cages de fer et de ciment où sont parqués les forçats, là, derrière ce mur tapissé de roses rouges de la France.