Page:Galmot - Quelle étrange histoire, 1918.djvu/60

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entraîne nos pieds. Comme il ferait bon glisser tous les deux, ainsi enlacés, dans l’eau mouvante…

Un bonheur de jeunesse et de paix et d’innocence puérile nous engourdit. Nous restons tout le matin, face à face avec l’eau, respirant son parfum salé.