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Madras, il y a aussi plusieurs journaux hindoustanis[1], et le nombre en est plus grand encore à Delhi, à Mirat, à Agra, à Lahore, à Bénarès, à Lakhnau[2]. Il y en a aussi à Sérampore, à Kidderpore, à Mirzapore, à Bhartpore, à Multan, à Bareilly, à Indore[3], etc. Si ces journaux parvenaient facilement en Europe, on trouverait sans doute à y puiser des renseignements intéressants, dignes d’être reproduits dans nos journaux, et on pourrait leur appliquer ces mots d’Horace :



alterius sic

Altera poscit opem res et conjurat amicè.



  1. Le Mirât ulakhbar, « le Miroir des nouvelles », le Cacid-i Madras, « le Courrier de Madras », etc.
  2. Report of the Society for the promotion of vernacular education, 1845, by Dr A. Sprenger.
  3. Voyez le Tableau statistique de ces journaux dans le « Friend of India », no de mars 1853.