pour savoir ce que c’était. Aucun de ces rêves ne devait se réaliser. »
Découragé par le peu de succès de ses œuvres littéraires, angoissé par l’appréhension de la découverte imminente de ses mensonges accumulés, troublé profondément par l’irréalisation de ses rêves pédérastiques que contrariaient des incidents plus ou moins burlesques et qui fuyaient devant lui comme un mirage, il rentrait chez lui agacé, mal en train, tourmenté par une céphalalgie frontale tenace.
Il cherchait toujours un moyen d’assouvir la passion qui le dominait, quand, un jour, il imagina de remplacer par une bille le membre viril dont il n’avait pu encore percevoir le contact tant désiré. Il acheta, à cette fin, une bille d’un certain calibre ; mais, de dimension trop