avance, se préparer à toutes les surprises, et s’attendre aux aberrations les plus invraisemblables.
La qualification de perversion sexuelle fétichiste convient-elle bien aux cas dont je vais parler ? On pourra peut-être le contester et, cependant, on ne méconnaîtra pas qu’on y retrouve le trait caractéristique des obsessions sexuelles fétichistes, à savoir l’accaparement, au profit d’un objet, ou bien d’une partie du corps, des sensations génésiques qui ne s’éveillent et se développent qu’à leur vue, à leur contact ou à leur simple représentation mentale.
Mais on doit convenir qu’il y apparaît comme un désir sadique auquel le fait que je vais citer emprunte sa sauvage cruauté. C’est bien de ce désir qu’on peut dire qu’il est frère de l’assassinat (Goïres).