Page:Gaskell Craik - Trois histoires d amour.djvu/69

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demeure. Bien des cœurs bénissent Lisette Leigh ; mais elle… elle implore toujours son pardon… le pardon qui lui permettra de revoir son enfant. Madame Leigh est paisible et heureuse. Lisette est précieuse à ses yeux comme la pièce d’argent perdue et retrouvée. Suzanne répand la joie et le soleil autour d’elle. Ses enfants se lèvent et la disent bienheureuse. L’une d’elles s’appelle Nancy. Lisette l’amène souvent jusqu’au cimetière de la montagne, et là, pendant que l’enfant fait des guirlandes de marguerites, Lisette s’assied près d’un petit tombeau et pleure amèrement.



FIN