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Où sont mes purs cheveux, mes mains d’adolescent,
Les chastes soirs fiévreux de ma vingtième année ?
Dans quels lits de hasard roula ma destinée ?
Ignorez-le toujours, rivage incandescent,
Vagues qui m’appelez, ô Méditerranée…
Le bûcher est secret qui brûle dans mon sang.