Aller au contenu

Page:Gasquet - Le Paradis retrouvé, 1911.djvu/90

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Et moi qui te surprends dans ta chaude détresse,
Parmi les lys foulés, sous le jasmin brisé,
Je n’ai pour te tirer du néant qui t’oppresse
Qu’à l’incarner dans un baiser.