que personne ne pourrait le posséder, par la raison péremptoire qu’il n’existe pas.
Ajoutons que si Ki-Kine fait les délices de son maître, les deux cochons tahitiens, convenablement soignés et acclimatés dans les montagnes du Bugey, y ont eu une descendance qui s’est rapidement propagée dans le pays de Sylans. Aujourd’hui il n’est pas rare de voir un pauvre homme entrer chez le charcutier pour y acheter son dîner et demander pour cinq sous de la « fauvette à M. Gélonneur ».
C’est ainsi que M. Gélonneur passera à la postérité, non peut-être de la façon qu’il eût enviée, mais tant d’autres n’y passeront jamais !
On tient pour certains à Sylans qu’au prochain comice il recevra la croix du Mérite agricole, pour « services rendus à l’agriculture locale ».