Page:Gautier, Loti - La Fille du Ciel (1912).djvu/241

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Des parfums dans les cassolettes, des fumées d’ambre !… Qu’on sonne le Carillon de Marbre… comme pour les Dieux !… Venez rendre hommage à votre Impératrice !… À genoux ! tous, devant la Fille du Ciel !…

Il se jette lui-même à genoux sur les marches. On sonne le Carillon de Marbre.

La foule magnifique envahit la salle et se prosterne devant la morte. — Rideau.