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de son cheval blanc sellé d’argent. Puis il le lance au galop à travers le vent printanier.
Sous les sabots, c’est comme un éclaboussement de pétales, car les fleurs tombées forment partout un épais tapis. Il ralentit sa course, indécis. Où irais-je. ? Où donc m’arrêter
Un rire clair et léger, un rire de feinme lui répond d’un bosquet voisin.
Voilà qui le décide c’est à ce cabaret qu’il s’arrêtera."
De tous temps, les poètes chinois ont uni la poésie à la musique, et ont chanté leurs vers.
Ils les chantent encore, et très probablement sur les mélopées d’autrefois