Page:Gautier - L’Usurpateur, tome 2.djvu/49

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Un flot de sang inonda la natte blanche. Le corps tomba.

Fatkoura n’avait pu retenir un cri d’horreur.

Les samouraïs détournaient la tête en fronçant le sourcil. Ils s’éloignèrent après avoir salué silencieusement le prince de Toza.

Celui-ci, plein de colère et de honte, alla s’enfermer dans son palais.

Le soir même, un messager, portant une tête sanglante, enveloppée de soie rouge et enfermée dans un sac de paille, quitta le château de Toza.