Page:Gautier - La Chanson de Roland - 1.djvu/407

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Il est là gisant, le comte Roland.
Il a tendu à Dieu le gant de sa main droite ;
Saint Gabriel l’a reçu.
Alors la tête de Roland s’est inclinée sur son bras,
Et il est allé mains jointes à sa fin.
Dieu lui envoie un de ses Anges chérubins
Et saint Michel du Péril.
L’âme du comte est emportée au Paradis.

(Vers 2375 et 2390-2396.)